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Bruno Romagny

Chercheur.e

Permanent.e

Directeur de recherche à l’IRD, économiste des ressources renouvelables

bruno.romagny@ird.fr

(+33)685446745

HAL
Romagny Bruno

Mes travaux scientifiques s’inscrivent dans le vaste champ des questionnements relevant de la gestion durable et de la gouvernance des ressources renouvelables (poissons, forêts, eau douce, parcours pour le bétail, etc.) qui mettent nécessairement en jeu plusieurs disciplines rattachées à trois grands domaines : les SHS, les sciences de la nature ou du vivant et celles de la représentation des connaissances. La gouvernance des ressources naturelles se situe à l’interface entre la coordination des actions individuelles imposée ou impulsée par l’État et les formes de l’action collective d’intérêt public ou d’intérêt communautaire. Le caractère fondamental des ressources renouvelables, appropriables uniquement par prélèvement sur le milieu naturel et par usage, est la propriété commune ou collective.

Je définis mon objet de recherche comme l’étude conjointe d’un écosystème et des interactions entre acteurs à propos de cet écosystème. Cette définition sous-entend l’existence d’acteurs différenciés pour lesquels la gestion de ces ressources représente un enjeu fort. Elle invite également à questionner les relations entre la dynamique d’un écosystème territorialisé et les pratiques anthropiques qu’il supporte, elles-mêmes sous-tendues par des représentations et des logiques socio-économiques parfois conflictuelles.

De façon récurrente, mes travaux croisent trois grandes thématiques : (i) la gouvernance territoriale et la gestion collective des ressources renouvelables en lien avec les politiques publiques et les grandes orientations internationales ; (ii) les analyses de filières et/ou en termes de chaines de valeur ; (iii) les relations avec les systèmes de production agricoles et les systèmes alimentaires.

Au-delà des orientations diverses qu’ont connues mes travaux, un certain nombre de « régularités » peuvent être mises en évidence.

  • La volonté d’aborder les questions d’usages et d’appropriation des ressources dans leur globalité, de façon systémique, plutôt que de me spécialiser dans des problématiques relatives à un seul secteur : économie des pêches, de l’eau, des forêts, du climat ou de la biodiversité. Cette démarche transversale est cohérente avec le profil du poste pour lequel j’ai été recruté à l’IRD : économiste DES ressources renouvelables.
  • Des recherches en économie politique qui étudient les relations entre les hommes à propos des choses, et qui ont été conduites exclusivement dans le cadre de programmes pluridisciplinaires, tant au sein des SHS qu’avec les sciences de la terre et du vivant (biologie marine, écologie terrestre, hydrogéologie, agronomie…), privilégiant le pluralisme méthodologique.
  • Une réflexion critique sur les concepts proposés par différents courants de pensée en économie, en particulier les approches en termes de communs, de processus de patrimonialisation, de gestion concertée des ressources et de résilience des systèmes socio-écologiques. Ces approches constituent le principal ancrage théorique de mes recherches.

Par rapport à la stratégie scientifique de l’IRD, organisée autour de 9 défis sociétaux pour les pays du Sud, l’ensemble de mes travaux peuvent être rattachés à 5 défis : (i) littoral et océans (ressources halieutiques), (ii) géoressources (eau), (iii) systèmes alimentaires durables, (iv) biodiversité et (v) changement climatique. Mes travaux s’inscrivent également dans deux défis transversaux affichés par l’IRD : agroécologie et eau comme bien commun.

Depuis le début des années 2000, l’essentiel de mes activités scientifiques concerne le bassin méditerranéen et plus particulièrement deux pays du Maghreb : le Maroc et la Tunisie. Au fil du temps et des programmes de recherche, j’ai pu développer un important réseau de partenaires académiques dans ces deux pays notamment. Les activités que je mène en lien avec cette région du monde sont diversifiées et m’ont permis de développer une expertise et des compétences dans plusieurs domaines : gestion collective et décentralisée des ressources (en eau, agro-sylvo-pastorales, foncières…), politiques publiques de développement agricole, rural et de gouvernance des ressources naturelles, dispositifs de valorisation des produits de terroirs (argan, safran…) et des spécificités locales, rôle des femmes rurales, aires protégées, agroécologie, etc.

Programmes de recherche au Sud réalisés en partenariat

EduBioMed, « Capacity building for education and applied research on Mediterranean UNESCO’s biosphere reserves » (2018-2021). Financement : Erasmus+ (UE). Projet piloté par l’université autonome de Barcelone (ICTA) qui a mobilisé notamment plusieurs chercheurs de l’ex LMI MediTer (équipes d’AMU, de l’UM5-Rabat et de l’UCA de Marrakech) ainsi que des partenaires au Liban, en France et en Espagne. Thématiques : contribution des réserves de biosphère méditerranéennes à la transition agroécologique, biodiversité, dialogue avec les gestionnaires d’aires protégées, apport des universités, appui aux porteurs de projets en agroécologie.

En Communs, « Entreprendre ‘en communs’. Droits de propriété, ‘communs’ et entreprise » (2016-2020), coordonné par Benjamin Coriat, Prof. d’économie au Centre d’économie de l’université Paris nord. Financement : AFD. Avec M. Aderghal du LMI MediTer et des étudiants, j'ai été impliqué dans le WP 5 coordonné par S. Vanuxem (juriste, UNS) : « Communs agricoles et piscicoles : résiliences, menaces et résurgences ». Thématiques : analyse du fonctionnement des coopératives forestières (cédraie marocaine).

Co-responsable (avec G. Michon et M. Berriane) du programme Med-Inn-Local « Innovations autour de la valorisation des spécificités locales dans les arrière-pays méditerranéens » (2013-2019). Financement : ANR TRANSMED 2012 « Études transdisciplinaires sur l’avenir de la Méditerranée ». Responsable de l’équipe LPED du programme et co-animateur de la tâche 4 : « Dispositifs de valorisation des produits et territoires ». Thématiques : émergence et dispositifs de valorisation des spécificités locales, indications géographiques protégées et signes distinctifs de qualité pour les produits agro-alimentaires.

POPULAR : « Politiques publiques et gestions paysannes de l'arbre et de la forêt : alliance durable ou dialogue de dupes ? » (2007-2010). Financement : ANR-ADD « Agriculture et développement durable ». Partenariat : AgroParisTech, CIRAD, CNRS, INRA, IRD. Thématiques : filière de l'huile d'argan au Maroc, labellisation, certification, politiques publiques.

JEFF-OR : « Mutations des sociétés agro-pastorales et usages des ressources naturelles : recompositions socio-territoriales et stratégies de développement en zones arides du Maghreb. Recherche comparée sur l'Oriental marocain et le Sud-est tunisien » (2004-2007). Financement : CORUS. Partenariat : une équipe pluridisciplinaire au sein des SHS regroupant 18 chercheurs et enseignants chercheurs appartenant à 9 établissements français, tunisiens et marocains. Thématiques : usages et de gestion des ressources en eau, politiques publiques, rôle des organisations locales dans la gestion participative des ressources et dans le développement rural.

AGDAL : « Les agdals du Haut Atlas marocain : biodiversité et gestion communautaire de l'accès aux espaces sylvopastoraux » (2003-2005). Financement : Institut français de la biodiversité. Partenariat : LPED, faculté des Sciences Semlalia de l'UCAM, laboratoires d'écologie végétale et d'écologie humaine. Thématiques : évolution des institutions et des modes de gestion collectifs des ressources (eau agricole, forêts, pâturages) dans la vallée des Aït Bougmez.

JEFFARA : « Lutte contre la désertification dans la Jeffara tunisienne : pratiques et usages des ressources, techniques de lutte et devenir des populations rurales » (2001-2004). Financement : Comité scientifique français de la désertification (crédits FSP). Partenariat : IRD, Institut des régions arides (IRA) de Médenine, avec la participation des Centres régionaux de développement agricole de Médenine et de Gabès. Thématiques : évolution des politiques publiques de l'eau et de développement rural, concurrence entre usages sectoriels de l'eau en zone aride ou semi-aride.

« Étude économique de la filière pêche maritime en Côte d'Ivoire » (1997-2001). Financement : FSP du MAE français. Partenariat : ORSTOM, Centre de recherches océanologiques (CRO) d'Abidjan, avec la participation de l'Institut de géographie tropicale (université de Cocody, Abidjan), de la Direction ivoirienne des pêches et de l'Institut des milieux aquatiques de Biarritz. Thématiques : étude de la filière pêche industrielle, projet de création d'un observatoire des pêches maritimes. Atelier de restitution des résultats du programme organisé par le CRO et l'IRD à Abidjan (avril 2002).

Principaux enseignements

2024 : chargé de cours dans le master (M2) ATI – SET, Parcours Anthropologie des Techniques et des Innovations (HMESAB3), cours magistral : « Eau, société et développement durable », université Côte d'Azur (18h/an).

2018-2023 : chargé de cours dans le master (M2) « Anthropologie des techniques et innovation sociale : design, eau & environnement », ECUE « Gestion sociale et patrimoniale de l’eau et des ressources naturelles en Méditerranée », université Côte d’Azur (15h/an)

2014-2015 : chargé de cours (24h/an) dans le Master 2 de géographie « Tourisme, gouvernance territoriale et développement local en zone rurale », Faculté des lettres et des sciences humaines, université Mohammed 5-Rabat (Maroc).

Septembre 2008 - décembre 2010 : chargé de cours dans le Master 2 (recherche & professionnel) d’ethnologie, « Transformation des sociétés contemporaines », parcours 4 : Gestion sociale de l’eau et médiation institutionnelle, (24 h de cours magistraux par an). LMET351 : Économie du patrimoine et développement durable, université Nice Sophia-Antipolis.

Membre de l’ED n° 372 de sciences économiques d’Aix Marseille Université

Participation à plusieurs comités de pilotage de thèses en géographie et dans d’autres disciplines que les sciences économiques

Rapporteur dans des jurys de thèse (économie et autres disciplines) et de HDR en sciences économiques

Bruno Romagny, économiste, directeur de recherche (HDR) à l’Institut de Recherche pour le Développement (IRD).

Titulaire d’un doctorat en sciences économiques soutenu à l’université de Nice Sophia-Antipolis en octobre 1996, j’ai candidaté avec succès au concours organisé un mois plus tard pour le recrutement des chargés de recherche de l’ORSTOM, devenu IRD en novembre 1998. J’ai ainsi été recruté sur un poste d’économiste des ressources renouvelables qui correspondait au profil de mes recherches. J’ai débuté ma carrière en février 1997 au sein du laboratoire Halieutique et écosystèmes aquatiques (HEA) à Montpellier, avant de partir six mois plus tard pour ma première affectation en Afrique. En septembre 2000, à mon retour de Côte d’Ivoire, j’ai quitté le département scientifique des ressources vivantes et le HEA pour rejoindre le Laboratoire population – environnement – développement (LPED) à Marseille, alors dénommé LPE. J’ai soutenu mon HDR en décembre 2009 et réussi quatre ans plus tard (juillet 2013) le concours de directeur de recherche de l’IRD.

J’ai passé 11 années en affectation dans trois pays : Côte d’Ivoire (1997-2000), Tunisie (2002-2006) et Maroc (2014-2018) dans le cadre de différents programmes de recherche menés en partenariat. J’ai aussi bénéficié de deux missions longue durée (de deux mois chacune) au Maroc en 2010 et 2011 et j’ai effectué de nombreuses missions dans plusieurs pays du continent africain et au Liban.

Pendant environ les dix premières années de ma carrière, mes responsabilités en termes d’animation de réseaux scientifiques, de participation à des comités d’experts et de gestion de la recherche ont été limitées à la coordination de certains volets de projets plus globaux. À partir de 2011, mes activités de direction, coordination et d’animation de la recherche se sont nettement accrues, ainsi que mes responsabilités au sein des programmes collectifs auxquels je participais.

Tout au long de mon parcours à l’IRD, je me suis souvent impliqué dans des initiatives destinées à diffuser et partager, sous une forme ou une autre (cycle de conférences dans les lycées de la région PACA/Sud, participations à la fête de la science, accompagnement de projets de jeunes au Maroc, expositions photos et autres, capsules vidéo, etc.), les connaissances acquises dans la sphère académique avec un large public, au Nord comme au Sud. Plus récemment, je me suis intéressé au domaine ancien mais en pleine expansion des sciences participatives et/ou citoyennes (sciences avec et pour la société), notamment à travers la coordination scientifique d’un programme de recherche-action financé par la Fondation de France (2023-2025).

Titres universitaires :

Habilitation à diriger des recherches en économie, université de la Méditerranée, Aix-Marseille II. Les modes de coordination entre acteurs dans la gestion des ressources naturelles. Expériences au Sud et ambitions de recherche. Sous la direction du Prof. Francis Bloch, décembre 2009.

Doctorat de sciences économiques, université de Nice Sophia-Antipolis (UNS). Développement durable, bioéconomie et ressources renouvelables. Réflexion sur les modes d’appropriation et de gestion de ces ressources. Une remise en cause de la formalisation de la « tragédie » de l’accès libre par le dilemme du prisonnier. Sous la direction du Prof. Claude Berthomieu, octobre 1996.

Direction scientifique et gestion de la recherche

Depuis le 1er octobre 2024 : directeur adjoint du département scientifique "Sociétés et mondialisation" (SOC) de l’IRD

2011-2014 : chargé de mission scientifique (à mi-temps) auprès des directeurs successifs (Laurent Vidal puis Luc Cambrézy) du département « Sociétés » (DSo) au siège de l’IRD à Marseille.

2016-2021 : co-directeur du Laboratoire mixte international (LMI) MediTer « Terroirs méditerranéens » (2011-2021).

Animation et comités scientifiques

Depuis fin 2023 : co-animateur, avec Christine Robles, de l’axe scientifique « Interactions natures et sociétés » au sein du LPED.

De janvier 2020 à avril 2024 : membre (au titre de l'IRD) du conseil scientifique d’Agropolis Fondation à Montpellier.

Depuis janvier 2023 : membre de la Communauté de savoirs (Cosav) « Terres & sols » et de son équipe d’animation en charge du thème « Agroécologie », avec Dominique Masse (agronome à l’IRD). Nous avons effectué une mission au Sénégal en février 2023 pour participer à la quatrième édition des journées de l’agroécologie organisée (du 14 au 16/02/2023) par le réseau DYTAES. Je me suis également investi dans la préparation des journées annuelles de cette Cosav qui se sont déroulées à Sète les 9-10 octobre 2023 sur le thème : « L'agroécologie, ses narratifs et ses perceptions. Une démarche réflexive sur nos postures de recherche ». Un texte collectif a été produit suite à ces journées qui a été présenté en juillet 2024 lors du colloque de l’IFSA en Italie, et qui sera prochainement publié (en anglais) par la revue Natures, Sciences, Sociétés

Depuis décembre 2022 : membre du Conseil consultatif (Advisory Board) du programme européen "NATAE - Fostering agroecology transition in North Africa through multi-actor, evaluation, and networking", financé dans le cadre de l'appel à projets de l'Union européenne HORIZON-CL6-2022-FARM2FORK-01-12: Agro-ecological approaches in African agriculture systems. Ce programme, démarré fin 2022 pour une durée de 48 mois, regroupe 22 partenaires.

2013-2018 : membre du Conseil de suivi scientifique du Laboratoire mixte international (LMI) « Patrimoines et territoires de l’eau » (PATEO) basé au Sénégal.

Représentant du LPED dans deux instances : (i) le conseil scientifique de l’Observatoire des sciences de l’univers (OSU) Pytheas (2013-2014) ; (ii) le pôle « Internationalisation & partenariat » du Laboratoire d’excellence « Les sciences humaines et sociales au cœur de l’interdisciplinarité pour la Méditerranée » (LabexMed, 2011-2014).

2010-2012 : membre du comité de pilotage du réseau méditerranéen en SHS : « Environnement, gouvernance et sociétés ». Ce réseau EGS, composé de chercheurs de l’IRD et de partenaires du sud et de l’est de la Méditerranée, a bénéficié de crédits incitatifs du DSo de l’IRD pendant 3 ans. Il a permis l’organisation de plusieurs événements (à Tunis et Beyrouth) et la publication en 2011 d’un ouvrage collectif chez Karthala.Dans la continuité des travaux de ce réseau, j’ai collaboré à plusieurs groupes d’experts internationaux sur la Méditerranée. Dans le cadre des travaux du Plan Bleu, j’ai participé au groupe de réflexion sur la révision de la Stratégie méditerranéenne de développement durable (SMDD, juillet 2014, Marseille). Entre 2012 et 2014, à la demande de l’IRD, j’ai été expert représentant les SHS dans le domaine de l’eau au sein du programme européen MED-SPRING “Mediterranean science, policy, research & innovation gateway” (FP7-INCO 2012-1.3). J’étais alors membre du « Euro-Mediterranean Expert Group - EMEG - Water » et j’ai assisté à plusieurs réunions dont une à Lisbonne (juin 2013). En 2011, j’ai été membre du groupe d’experts réunis à l’occasion de l’Atelier de réflexion prospective (ARP) PARME « Quelles recherches et quels partenariats pour la Méditerranée ? », financé par l’ANR et animé par Bernard Hubert (Agropolis International), Philippe Lecomte et Marc Voltz.

2010 : membre du groupe de travail coordonné par Dominique Cavet et Laurent Vidal chargé de proposer des outils de référence concernant l’indexation et le classement des revues scientifiques, ainsi que des ouvrages ou chapitres d’ouvrages qui constituent un support spécifique de publication pour les SHS. Ce groupe était composé de deux chercheurs spécialistes de chacune des grandes disciplines de SHS représentées à l’IRD. Lors des nombreuses séances de travail, j’ai représenté les économistes avec Sandrine Mesplé-Somps. Ce travail sur les référentiels de publication a été présenté au conseil d’administration de l’IRD et à la CSS 4.

2008-2014 : membre du réseau Euro-méditerranéen 3+3 TREASURE (Treatment and Sustainable Reuse of Effluents in semi arid climates) coordonné par Jérôme Harmand (LBE-INRA, Narbonne). L'objectif de ce réseau scientifique pluridisciplinaire méditerranéen était de créer les conditions favorables à l'acquisition des connaissances et des moyens technologiques par les pays d'Afrique du nord et sub-saharienne, pour étudier et développer des recherches sur le couplage de bioréacteurs de digestion anaérobie et de membranes permettant la réutilisation des eaux usées traitées en agriculture.

Quelques expertises

Pour le Centre d’études et de recherches du Crédit Agricole du Maroc (CERCAM, financement AFD) : coordination de la consultance conduite au nom du LMI MediTer sur le thème : « Évaluation et chiffrage du rôle socio-économique, culturel et autres de la femme dans les petites et moyennes exploitations agricoles au Maroc ». Durée : mai 2016-février 2018 (22 mois).

Pour le CIRAD (financement AFD) : participation à l’étude « Les systèmes de distribution alimentaire dans les pays méditerranéens et d’Afrique Sub-saharienne : repenser le rôle des marchés dans l’infrastructure commerciale », coordonnée par le CIRAD (2016-2017). Référence : AFD/ACH – 2015-086.
Papier de recherche AFD

Pour les bureaux d’études AgroConcept et ACTeon : expert pour les études d’assistance technique en vue du développement de systèmes de paiement pour les services écosystémiques dans la région de Souss Massa Draa (sud-ouest marocain), à partir de juin 2015 pour une durée de 26 mois.